Paris compte profiter de la présidence de l'UE pour s'attaquer au problème et devrait s'appuyer sur ce rapport pour défendre le plurilinguisme au sein des institutions européennes.
Il n'est pas trop tard pour relancer le multilinguisme dans les institutions européennes. C'est l'une des principales conclusions du rapport consacré à «la diversité linguistique et la langue française en Europe» remis mercredi 20 octobre aux ministres Jean-Baptiste Lemoyne (Francophonie) et Clément Beaune (Affaires européennes), à quelques semaines donc du coup d'envoi de la présidence française de l'Union européenne.